Je mets en place, anime et propose plusieurs formats d’ateliers, pour des enfants allant de 6 à 15 ans, avec différents types de structures (écoles, collèges, centres d’aides sociales à l’enfance, centres aérés, médiathèques, initiatives privées, associations etc…).
Chaque atelier répond à un cahier des charges que nous établissons ensemble (durée de l’atelier, périodes scolaires ou périscolaires, nombre d’enfants, âges, thématiques, budget…), chaque formule est unique et s’envisage en discussion avec vous.
L’idée étant de se rassembler autour d’un but commun, d’être en présence lors d’activités poétiques qui intéressent les enfants, laissant également de la place à l’inattendu et à l’improvisation.
L’atelier se construit avec le concours des éventuels artistes intervenants, des équipes pédagogiques et des enfants. Chaque atelier est une situation que l’on s’offre pour se laisser aller à la création et faire danser l’imagination. Un moment privilégié avec « les autres ».
Les activités proposées sont des jeux en adéquation avec l’âge des enfants et leurs envies et capacités à ce moment là.
Je développe plusieurs modules d’ateliers pré-définis autour desquels j’aime travailler comme INVENTEURS DE MOTS – APPRENDRE À REGARDER AVEC TONTON GASTON – COLLAGES EN TOUS GENRES – POÉSIE DESSINÉE mais je propose aussi des ateliers pluridisciplinaires en faisant intervenir des musicien.ne.s, plasticien.ne.s, danseur.seuse.s, auteur.rice.s, vidéastes… pour les modules ÉCRIRE ET COMPOSER UNE CHANSON (rock, rap, slam, lyrique…), COURS DE RÉPARTIE et DANSER LES MOTS.
L’idée des ateliers est de s’amuser avec les mots, de susciter la curiosité, d’encourager les enfants à se découvrir et à s’affirmer en soutenant leurs potentiels créatifs, en reconnaissant la valeur de leur participation et leur désir de se lancer dans une direction quelle qu’elle soit.
L’éveil d’un enfant se construit à chaque instant à travers ses expériences et ses rencontres. Les ateliers poésie comme toutes expériences sportives, collectives, associatives ou culturelles occupent une place privilégiée, ils ont un rôle créateur de lien social, ils sont des endroits d’expression des émotions, où chacun est acteur et créateur sans aucun jugement, un temps à soi avec les autres mais aussi et surtout ce sont des lieux d’écoute des enfants et de transmissions des savoirs et techniques.
Les ateliers poésie souhaitent faire prendre conscience aux enfants de leur potentiel imaginaire, du pouvoir que l’on a si l’on maitrise les mots et le langage, le pouvoir de dire, le droit fondamental d’apprendre à écrire, à penser, à dire et de ne jamais s’arrêter de jouer.
L’Enfance est un poème.
Si vous souhaitez que nous organisons des ateliers ensemble, merci de m’écrire à …..
Voici quelques-uns de ces mots inventés et un extrait de la pièce sonore qui a été créé à l’issue de l’atelier avec l’artiste Sarah Brown.
ÉMETTROCELLULER : émettre à travers les cellules
DIPEAUMETTRE : mesurer les étoiles
ISOGROUMAGNÉTIQUE : isolement qui regroupe les champs magnétiques
RAYOGRESSER : personne qui régresse à une vitesse hallucinante
AMARAYON : chose qui peut bloquer tous les rayons (sauf ceux du soleil)
RAYJOUR : jour férié qui peut être alterné
AMGRESSER : fait d’engraisser un humain pour le manger
PAROSOPHER : verbe, parler de philosophie
CALCOUTER : action d’écouter un énoncé et de calculer en même temps
JOUART : faire de l’art pendant le jour
ÉCOUTAR : Art de l’écoute
PIERRELER : action qui consiste à parler avec une pierre
CRONDE : onde qui permet la communication avec une croix
PAPIONCROIX : parler en émettant des ondes avec une croix en pierre qui vole
ONDER : action de danser dans l’ombre
L’EPIDECROIX : croyance envers les animaux volants plus fréquemment les pies
Dans le cadre d’une résidence d’un an de l’artiste Édouard Sufrin au Collège Les Tourelles à Villiers Saint-Georges en septembre 2021, j’ai animé quatre sessions d’ateliers poésie avec une classe de 5ème et une classe de 3ème.
L’objectif de cette résidence d’un an était la restitution d’une série de créations plastiques et poétiques et de dispositifs WIFI et radio qui permettraient la découverte d’œuvres littéraires et cinématographiques, artistiques, scientifiques et documentaires dans et aux abords du collège.
S’appuyant sur l’univers esthétique de Jules Verne et de son île au trésor, nourris par l’univers steampunk et les expériences du confinement, nous voyagerons vers les horizons mécaniques d’uchronies telles qu’ »Avril et le monde truqué » (Tardi). Plusieurs séries d’ateliers proposant de découvrir les possibilités des « bibliobox » et des émetteurs radio ont été mené avant d’imaginer et réaliser ensemble les dispositifs voués à investir différents lieux.
Dans l’idée de réfléchir autour de la thématique Émettre-Transmettre, nous nous sommes interrogés sur la possibilité de bien se comprendre lorsque nous communiquons avec les autres. Puisque nous mettons chacun.e un sens différent derrière les mots, comment être sûr de bien se comprendre ? Et si nous ouvrions nos dictionnaires pour commencer…
Les élèves par groupe de deux, recevaient 4 mots sur une feuille. Ils doivent ensuite aller chercher leurs définitions dans le dictionnaire, les lire et les noter. Les mots proposés aux élèves étaient tous dans le champ lexical d’«émission-réception » sauf un.
Ensuite, les élèves créent et inventent de nouveaux mots à partir de ces 4 mots. Ils doivent ensuite en inventer les définitions. Une fois les définitions faîtes, je les ai enregistré les lire.
L’artiste Sarah Brown a récupéré cette matière sonore et les enfants ont travaillé sur un montage audio de leurs voix mêlées et trafiquées par eux. Une pièce sonore de 20 minutes a été réalisé.
Dans le cadre d’une résidence d’un an de l’artiste Édouard Sufrin au Collège Les Tourelles à Villiers Saint-Georges en septembre 2021, j’ai animé quatre sessions d’ateliers poésie avec une classe de 5ème et une classe de 3ème.
L’objectif de cette résidence d’un an était la restitution d’une série de créations plastiques et poétiques et de dispositifs WIFI et radio qui permettraient la découverte d’œuvres littéraires et cinématographiques, artistiques, scientifiques et documentaires dans et aux abords du collège.
S’appuyant sur l’univers esthétique de Jules Verne et de son île au trésor, nourris par l’univers steampunk et les expériences du confinement, nous voyagerons vers les horizons mécaniques d’uchronies telles qu’ »Avril et le monde truqué » (Tardi). Plusieurs séries d’ateliers proposant de découvrir les possibilités des « bibliobox » et des émetteurs radio ont été mené avant d’imaginer et réaliser ensemble les dispositifs voués à investir différents lieux.
Dans l’idée de réfléchir autour de la thématique Émettre-Transmettre, nous nous sommes interrogés sur la possibilité de bien se comprendre lorsque nous communiquons avec les autres. Puisque nous mettons chacun.e un sens différent derrière les mots, comment être sûr de bien se comprendre ? Et si nous ouvrions nos dictionnaires pour commencer…
Les élèves par groupe de deux, recevaient 4 mots sur une feuille. Ils doivent ensuite aller chercher leurs définitions dans le dictionnaire, les lire et les noter. Les mots proposés aux élèves étaient tous dans le champ lexical d’«émission-réception » sauf un.
Ensuite, les élèves créent et inventent de nouveaux mots à partir de ces 4 mots. Ils doivent ensuite en inventer les définitions. Une fois les définitions faîtes, je les ai enregistré les lire.
L’artiste Sarah Brown a récupéré cette matière sonore et les enfants ont travaillé sur un montage audio de leurs voix mêlées et trafiquées par eux. Une pièce sonore de 20 minutes a été réalisé.
Voici quelques-uns de ces mots inventés et un extrait de la pièce sonore qui a été créé à l’issue de l’atelier avec l’artiste Sarah Brown.
ÉMETTROCELLULER : émettre à travers les cellules
DIPEAUMETTRE : mesurer les étoiles
ISOGROUMAGNÉTIQUE : isolement qui regroupe les champs magnétiques
RAYOGRESSER : personne qui régresse à une vitesse hallucinante
AMARAYON : chose qui peut bloquer tous les rayons (sauf ceux du soleil)
RAYJOUR : jour férié qui peut être alterné
AMGRESSER : fait d’engraisser un humain pour le manger
PAROSOPHER : verbe, parler de philosophie
CALCOUTER : action d’écouter un énoncé et de calculer en même temps
JOUART : faire de l’art pendant le jour
ÉCOUTAR : Art de l’écoute
PIERRELER : action qui consiste à parler avec une pierre
CRONDE : onde qui permet la communication avec une croix
PAPIONCROIX : parler en émettant des ondes avec une croix en pierre qui vole
ONDER : action de danser dans l’ombre
L’EPIDECROIX : croyance envers les animaux volants plus fréquemment les pies
Organisé par les Ateliers Médicis à Seine Saint-Denis et la plasticienne Sonia Saroya, Machine à habiter est un projet initié il y a quelques années déjà. C’est le terme employé par Le Corbusier pour désigner ses immeubles d’habitat. En 1965, la cité des Bosquets est construite à Montfermeil.
Symbole d’une époque, cette « machine à habiter » sera détruite en 1994. Ces constructions sont des monuments urbains porteurs de sens commun et d’histoires personnelles. En leur rendant hommage ce projet tente de saisir comment nos imaginaires sont influencés par nos territoires. Après une série d’architectures en kit, référence aux objets souvenirs touristiques, le projet évolue vers la réalisation d’un livre sonore animé. Éléments graphiques, mécaniques et capteurs dissimulés viendront proposer une immersion d’où s’échappent des témoignages sonores. Avec les élèves, ce processus serait ré-envisagé en regard de leur territoire et de leurs imaginaires. Ils réaliseront une édition spéciale, voyage visuel et sonore dans les visions et projections inspirées par les architectures qui les entourent.
Nous avons joué avec le sens des mots et le sens des mots dans une phrase à l’instar des collages surréalistes d’images et de lettres. L’idée était de re-créer à partir des ruines du passé, de laisser libre cours à la spontanéité pour stimuler l’imagination du temps présent.
A partir d’un corpus de textes, poèmes, récits, les élèves en groupe de trois devaient sélectionner des lettres, mots ou phrases. Une fois sélectionnés leurs passages préférés, ils ont dû les découper.
Chaque groupe dispose d’une série de lettres, mots et phrases qui constitue leur boites à outils de mots à partir de laquelle, ils vont créer de nouveaux poèmes et récits.
Comment créer à partir d’une contrainte ? Découvrir qu’il y a du sens dans l’absurde, s’amuser avec la langue, tordre le langage, le désacraliser, accorder du sens aux sonorités de la langue, transmettre l’idée que tout sert à tout pour créer, tout peut être matière à jouer.
Le même principe a été réalisé avec des images de bâtiments, les élèves étaient là aussi invité à en découper leurs angles préférés dans le but des coller entre eux par la suite afin d’apporter un regard complètement nouveau sur ce que l’architecture pourrait être.
Organisé par les Ateliers Médicis à Seine Saint-Denis et la plasticienne Sonia Saroya, Machine à habiter est un projet initié il y a quelques années déjà. C’est le terme employé par Le Corbusier pour désigner ses immeubles d’habitat. En 1965, la cité des Bosquets est construite à Montfermeil.
Symbole d’une époque, cette « machine à habiter » sera détruite en 1994. Ces constructions sont des monuments urbains porteurs de sens commun et d’histoires personnelles. En leur rendant hommage ce projet tente de saisir comment nos imaginaires sont influencés par nos territoires. Après une série d’architectures en kit, référence aux objets souvenirs touristiques, le projet évolue vers la réalisation d’un livre sonore animé. Éléments graphiques, mécaniques et capteurs dissimulés viendront proposer une immersion d’où s’échappent des témoignages sonores. Avec les élèves, ce processus serait ré-envisagé en regard de leur territoire et de leurs imaginaires. Ils réaliseront une édition spéciale, voyage visuel et sonore dans les visions et projections inspirées par les architectures qui les entourent.
Nous avons joué avec le sens des mots et le sens des mots dans une phrase à l’instar des collages surréalistes d’images et de lettres. L’idée était de re-créer à partir des ruines du passé, de laisser libre cours à la spontanéité pour stimuler l’imagination du temps présent.
A partir d’un corpus de textes, poèmes, récits, les élèves en groupe de trois devaient sélectionner des lettres, mots ou phrases. Une fois sélectionnés leurs passages préférés, ils ont dû les découper.
Chaque groupe dispose d’une série de lettres, mots et phrases qui constitue leur boites à outils de mots à partir de laquelle, ils vont créer de nouveaux poèmes et récits.
Comment créer à partir d’une contrainte ? Découvrir qu’il y a du sens dans l’absurde, s’amuser avec la langue, tordre le langage, le désacraliser, accorder du sens aux sonorités de la langue, transmettre l’idée que tout sert à tout pour créer, tout peut être matière à jouer.
Le même principe a été réalisé avec des images de bâtiments, les élèves étaient là aussi invité à en découper leurs angles préférés dans le but des coller entre eux par la suite afin d’apporter un regard complètement nouveau sur ce que l’architecture pourrait être.
Pour exemple, ici le poème-mantra écrit avec les lettres d’Alice aux Pays des merveilles :
l’Ambition
Libératrice
Impose
des saCrifice pour
rEéaliser ses rêves
Amoureuses de
l’Utopie, cheveux
auX vents
Paysages
Anciens
hYpothèse
Sincère
Dreamez les
Enfants
Seuls !
iMaginez-vous
unE histoire
Royale
Vibrante
Etincelante
Insolite
Lumineuse
Loin
dE ce monde
Sans pitié
Suite à l’invitation de l’équipe pédagogique du collège Albert Camus dans le cadre d’un projet avec les collégiens dans le but de « s’approprier son collège » la plasticienne Hermione Volt et moi-même avons proposé un projet de fresque dans l’enceinte du collège ainsi que plusieurs ateliers poésie.
L’équipe pédagogique souhaitait que nous réfléchissions à une manière de mettre en avant des figures féminines historiques et inspirantes.
Nous nous sommes interrogé sur ce qu’était une personne inspirante, une « personne-miroir », et nous sommes arrivés au constat suivant : il y avait une multitude de personnes inspirantes dans chacune de nos vies, que ce soient des personnes qui ont révolutionné l’histoire de l’art, de la recherche, de la musique… mais aussi des personnes du quotidien comme une grand-mère, une sœur, une professeure de sport… qui sont tout autant des modèles, des guides… in finé, nous souhaitons transmettre aux enfants un message : ils sont aussi eux-mêmes des personnes inspirantes, des personnes miroirs pour les autres.
Objectif des ateliers : création d’un mur avec une fresque composée des silhouettes de femmes qui ont marqué l’histoire + un mur avec les dessins des femmes inspirantes de leurs vies qui ne sont pas des célébrités + séries de poèmes conçus comme des « mantra positifs ».
Avant toutes choses, j’ai consacré un temps d’atelier à présenter les femmes inspirantes choisies à 60% par l’équipe pédagogique du collège et nous-mêmes et à 40% par les enfants, à savoir Joséphine Baker, Alice aux pays des merveilles, Nina Simone, Beyoncé, Wonder Woman, Marie Curie, Anne Frank, Greta Thunberg, Olympe de Gouge, Rosa Parks, Simone Veil. Les élèves étaient invités à prendre des notes et à mettre quelques mots de côté concernant chacune de personnalités féminines.
Dans un second temps, j’ai mis en place plusieurs jeux dans le but de collecter des mots afin de les utiliser dans nos poèmes et mantras. Nous avons joué au petit bac afin de collecter des mots selon leurs premières lettres. Nous avons aussi généré plusieurs dizaines de mots de façon spontanée en faisant une ronde de mots où chacun.e était invité à donner un mot en écho au mot précédent.
Une fois constitué notre boite à outils de mots, nous avons inscrit sur une feuille chacune des lettres des noms et prénoms des femmes inspirantes dans le but d’écrire des poèmes dont la contrainte était l’utilisation des lettres des noms et prénoms des femmes inspirantes (acrostiches).
Suite à l’invitation de l’équipe pédagogique du collège Albert Camus dans le cadre d’un projet avec les collégiens dans le but de « s’approprier son collège » la plasticienne Hermione Volt et moi-même avons proposé un projet de fresque dans l’enceinte du collège ainsi que plusieurs ateliers poésie.
L’équipe pédagogique souhaitait que nous réfléchissions à une manière de mettre en avant des figures féminines historiques et inspirantes.
Nous nous sommes interrogé sur ce qu’était une personne inspirante, une « personne-miroir », et nous sommes arrivés au constat suivant : il y avait une multitude de personnes inspirantes dans chacune de nos vies, que ce soient des personnes qui ont révolutionné l’histoire de l’art, de la recherche, de la musique… mais aussi des personnes du quotidien comme une grand-mère, une sœur, une professeure de sport… qui sont tout autant des modèles, des guides… in finé, nous souhaitons transmettre aux enfants un message : ils sont aussi eux-mêmes des personnes inspirantes, des personnes miroirs pour les autres.
Objectif des ateliers : création d’un mur avec une fresque composée des silhouettes de femmes qui ont marqué l’histoire + un mur avec les dessins des femmes inspirantes de leurs vies qui ne sont pas des célébrités + séries de poèmes conçus comme des « mantra positifs ».
Avant toutes choses, j’ai consacré un temps d’atelier à présenter les femmes inspirantes choisies à 60% par l’équipe pédagogique du collège et nous-mêmes et à 40% par les enfants, à savoir Joséphine Baker, Alice aux pays des merveilles, Nina Simone, Beyoncé, Wonder Woman, Marie Curie, Anne Frank, Greta Thunberg, Olympe de Gouge, Rosa Parks, Simone Veil. Les élèves étaient invités à prendre des notes et à mettre quelques mots de côté concernant chacune de personnalités féminines.
Dans un second temps, j’ai mis en place plusieurs jeux dans le but de collecter des mots afin de les utiliser dans nos poèmes et mantras. Nous avons joué au petit bac afin de collecter des mots selon leurs premières lettres. Nous avons aussi généré plusieurs dizaines de mots de façon spontanée en faisant une ronde de mots où chacun.e était invité à donner un mot en écho au mot précédent.
Une fois constitué notre boite à outils de mots, nous avons inscrit sur une feuille chacune des lettres des noms et prénoms des femmes inspirantes dans le but d’écrire des poèmes dont la contrainte était l’utilisation des lettres des noms et prénoms des femmes inspirantes.
Pour exemple, ici le poème-mantra écrit avec les lettres d’Alice aux Pays des merveilles :
l’Ambition
Libératrice
Impose
des saCrifice pour
rEéaliser ses rêves
Amoureuses de
l’Utopie, cheveux
auX vents
Paysages
Anciens
hYpothèse
Sincère
Dreamez les
Enfants
Seuls !
iMaginez-vous
unE histoire
Royale
Vibrante
Etincelante
Insolite
Lumineuse
Loin
dE ce monde
Sans pitié