À la recherche d’une vérité, d’un infini perdu, d’une immensité spatiale dont elle cherche à se nourrir, Rosalie est en contemplation permanente des étoiles qu’elle rêve de rejoindre.
Lâcher le volant sous forme de prose est un dessein salvateur pour les funambules du verbe, qui, aux prises avec la lucidité tentent d’atteindre leur enthousiasme désenchanté.
Tandis que nous nous promenons quelque part entre les étoiles et la terre ferme, entre joyeuse provocation et douce empathie, dans une autre galaxie les adultes poursuivent leur course folle.